Kiwako Harada and Riki Takeuchi, the beautiful couple from Kare no ootobai, kanojo no shima (His Motorbike, Her Island, 1986).
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Kiwako Harada et Riki Takeuchi, le joli couple de Kare no ootobai, kanojo no shima (His Motorbike, Her Island, 1986).
Bonjour,
ReplyDeletePour vous signaler la parution d'un entretien avec le cinéaste (voir URL, le copier/coller ne marche apparement pas)
la brochure ATG pour "La Ville en ruine" (cf URL .. Deserted City)
ReplyDeleteMerci infiniment, Martin, pour ces découvertes.
ReplyDeleteJ'ai ajouté le lien de l'entretien dans la section appropriée. Et je ferai prochainement un article sur cette superbe brochure.
J'espère que les gens de Nihon Cine Art mettront la main sur celle de Exchange Student, aussi. On trouve si peu d'images sur ce film alors même qu'il fut l'un des plus gros succès d'Obayashi.
Cela me fait également plaisir de voir un lecteur participer spontanément alors que ce n'est que le début du blog. C'est très encourageant !
J’avais bien écumé le web nippon il y a un an, et j’avais pas trouvé grand-chose sur le cinéaste niveau ressources visuelles. Par contre il y a un bouquin de photos qui traine souvent pour une bouchée de pain sur les enchères nippones. Les pamphlets y apparaissent aussi de temps à autres, idem pour tous les magazines Kadokawa.
ReplyDeleteAu passage, je publierai très prochainement une chronique sur La Ville en Ruine (sur le site de l’interview, c’est moi qui gère ça). Tu peux me contacter via le site, j’ai qlq illustrations en stock sur le bonhomme.
Oh, c'est grâce à Eigagogo que j'ai découvert Obayashi, il y a 3-4 ans. Votre galerie photo "le monde étrange de House" a été une révélation et m'a fait rêver pendant des mois, jusqu'à ce que je mette la main sur le film.
ReplyDeleteC'est vrai que le web nippon est pauvre en images. Au Japon, j'ai eu la chance de mettre la main sur quelques OST, dvds, pamphlets ainsi que ce fameux livre photo sur les premiers films d'Obayashi.
Je t'envoie un email et j'ai hâte de lire la
revue de la Ville en Ruine. Je regrette par ailleurs de ne pas habiter Paris ces temps-ci. Le programme de la rétrospective ATG est sublime...